Programmation

Biologiste de formation, Olivier de Sagazan est peintre et sculpteur. Son oeuvre embrasse ces influences et réfléchit sur la vie organique, la normalité, la difformité et l’improbabilité du réel.

Quatre ami·e·s se retrouvent et discutent. John, Louise, Yann et Johan semblent se connaître depuis longtemps. Deux sont en couple, d’autres ont l’air d’être proches d’eux.

Le texte coule comme un fleuve en crue, une logorrhée diluvienne, une évasion poétique et libertaire, une langue percutante et ciselée.

La joyeuse troupe du Green Line Marching Band, construite autour du « cinq majeur » guitare-basse-batterie-batterie-clavier-chant, entraîne le public dans une traversée de standards.

Un orchestre joue inlassablement la même mélodie. Un menuet. Le sol est recouvert de boue.

Les princesses proposent des performances poétiques, ou de la poésie à dire, peu importe le nom. L’essentiel, c’est qu’elles soient dites de toute urgence, « même s’il n’y a pas le feu ».

Ils sont là, ils habitent la rue, la rue leur appartient aussi, une fois que les pas des passants se retirent dans leur foyer.

Lapin 34, après son spectacle Broglii, poursuit son exploration de l’absurde, du loufoque, cette fois du côté obscur du pouvoir et de son exercice. Son terrain de jeu ? Antigone.

Une femme est en proie à toutes sortes de violences. Parfois, une femme meurt. Jean d’Amérique se penche sur le sort des femmes dans la société haïtienne.

Jack London explique, dans Ce que la vie signifie pour moi, pourquoi et comment il est devenu socialiste. Ce récit du début du 20ème siècle valorise la réflexion, la sobriété, la culture, le savoir.

Ce rendez-vous, proposé en collaboration avec les Rencontres des Arts Participatifs, est animé par Géraldine Bénichou.

"Au Liban, chaque génération souhaite à la suivante de réussir là où elle a échoué", explique Valérie Cachard.

La joyeuse troupe du Green Line Marching Band, construite autour du « cinq majeur » guitare-basse-batterie-batterie-clavier-chant, entraîne le public dans une traversée de standards.

Nathalie Hounvo Yekpe est comédienne, géographe et metteuse en scène. Elle s’intéresse aux croyances et non-croyances qui habitent un territoire et peuplent ses habitant·es.

Ahmed Tobasi naît dans le camp de réfugiés de Jénine en Cisjordanie durant la première Intifada. And here I Am retrace le parcours de celui qui s’est ensuite plongé dans le théâtre.

Le chanteur, parolier, graphiste, accordéoniste, guitariste Christian Olivier a peut-être plusieurs casquettes mais il quitte rarement son chapeau.

Une pincée de théâtre, un soupçon de danse et de marionnettes, des notes de musique. La magie opère : là, d’imposants ours en peluche se tiennent, à la tombée de la nuit, sous l’éclat d’un lampadaire…

Un trio de rockeuses qui n’aime rien de plus que retourner la scène, déclencher une transe collective, jusqu’à ce que les corps deviennent moites, les jambes fourbues et les bouches pâteuses.

Jane Fournier renverse les codes. Seule, en jogging, et sur des sons de techno, la tradition rencontre la culture underground.

L’enfant imagine avec appétit l’adulte qu’il deviendra. L’adulte cherche en permanence la légèreté qui l’habitait lorsqu’il était enfant.Quant au vieillard, il inspire la peur de la perte d’autonomie.